Lors d’un contrôle du train international entre Moscou et Nice, les gardes-frontières polonais ont fait une drôle de découverte. Intrigués par une grande valise, les agents demandent à un sexagénaire français d’ouvrir son bagage. Là, pas de drogue, pas de lingots d’or… mais une femme d’une trentaine d’années.

C’était l’épouse russe du propriétaire de la valise,.Elle était en bonne forme.
Interrogés au poste frontalier polono-bélarusse de Terespol, l’homme pensait que sa femme de nationalité russe n’avait pas le droit d’entrer dans l’espace Schengen. Pour éviter qu’elle soit refoulée, il a trouvé ce stratagème comme seule solution… «Si elle avait voyagé assise à côté de son mari, elle serait passée sans problème, ajoute le garde-frontière. Pour avoir tenté d’éviter les contrôles à la frontière, les deux époux risquent une peine de trois ans de prison.